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Cela s’est passé un 7 mai 2009, décès de Mohamed Maghlaoui

mohamed-maghlaoui-bigIl a occupé différentes fonctions politique, notamment en tant que député et ministre. Mohamed Maghlaoui est né le 5 mai 1944, à Skikda.

Mohamed Maghlaoui est diplômé de hautes études commerciales (HEC) à l’université de Montréal, une école de gestion de renommée internationale. En 1976, alors qu’il est rentré en Algérie, il est nommé directeur de la Société de sidérurgie (SNS GCL de Hydra), poste qu’il occupe jusqu’en 1981.

Il a fait partie d’une équipe chargée de la restructuration organique de la SNS d’El Hadjar, avant d’occuper le poste de PDG de Real Sider, une filiale de la Société nationale de sidérurgie (SNS).

Six ans plus tard, il entame une carrière politique. C’est ainsi qu’il se présente aux élections législatives de 1987 et siège à l’Assemblée populaire nationale (APN) comme député de la wilaya de Annaba, pendant trois ans. En 1991, il est nommé ministre délégué au Logement.

Une année plus tard, il occupe le poste de wali général d’Alger. En 1993, il est, une fois de plus, rappelé pour prendre un autre portefeuille, celui de l’Habitat.

En 1997, il se présente de nouveau aux élections législatives comme député, cette fois-ci, de la wilaya de Skikda. Une fois élut, Maghlaoui est nommé président de la commission de la Défense nationale et du groupe parlementaire du Rassemblement national démocratique (RND) à l’Assemblée. Lors de ce mandat, il fut président de la Commission de la défense nationale.

Après deux années de députation, il est rappelé de nouveau au gouvernement en 1999. Il est installé au département des Postes et des Télécommunications. Après cinq années à la tête de ce ministère, il est nommé ministre des Transports entre 2004 et 2008, dans le gouvernement d’Abdelaziz Belkhadem. Ce fut le dernier poste qu’il occupa. Suite à une longue maladie, il décède le 7 mai 2009, à l’âge de 65 ans.

Il sera enterré dans sa ville natale, Skikda, entouré d’une foule nombreuse qui l’accompagnera à sa dernière demeure. Parmi eux, beaucoup de citoyens de la ville et des membres du gouvernement de l’époque.

Z.M.

 

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1 commentaire

La sterne rieuse 11 mai 2014 at 13 h 02 min

Bonjour,ce proverbe répond à la condition de la femme soumise sans ressources qui dépend de l’homme pour la nourrir. Elli cheddet adhma tkoul habra que disait ma grand’mère à propos de l’homme. Je traduis approximativement celle qui a un os,se dit c’est un morceau. Pauvres femmes!!!! Je suis aux antipodes de cette conception.
Ne pas verser dans le racisme, les etres humains sont égaux devant Dieu, hommes,femmes,noirs ,blancs….Le premier muedhin après le prophète QSSL était noir BILAL fils d’esclave.
N’est pas Homme qui veut, les femmes sont très intelligentes,sensibles et patientes. Elles valent mieux que certains hommes, qui ne sont que des males.Désolée si j’ai écorché la carapace machiste, après tout se sont les femmes qui mettent au monde ceux qui se considèrent comme des demi dieux!!!!! Merci le modéro de publier.

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